mardi 14 avril 2009

Day 4 : Rencontres ...


Mardi 14 avril, début du stage proprement dit (enfin, presque).
Rendez-vous à JMU à 9h30 avec le docteur Karl O. Jones. Comme l'a dit Max, JMU est à 5 minutes de chez nous, par sécurité nous partons à 15 ...
Le bâtiment est 'massif' : 5 étages de salles de cours, un accueil, des canapés, des ascenseurs partout, un stand viennoiserie, des longs couloirs ... Ça fait assez hôpital, comme ambiance par rapport à Cachan.
C'est dans un de ces canapés que Karl Jones nous présente nos stages (sauf pour Charles, lui, il vera avec Ronan McMahon). Karl est très direct et plutôt sympa. Il nous met à l'aise très rapidement. De toute façon, si le stage n'est pas fini, ce n'est pas grave, le principale est que l'on travaille bien dessus. Il nous réexplique la différence entre étudiants français et anglais : en France, on fille tout aux étudiants et ils doivent utiliser leurs connaissances pour bosser, en Angleterre, c'est la méthode FOFO qui prîme ("Fuck Off & Find Out !"). L'étudiant doit se débrouiller tout seul. Il est plus autonome mais a moins de temps à consacrer pour augmenter ses connaissances.
Il nous explique aussi qu'il est actuellement en vacances. Cette semaine sera donc plutôt consacrée à faire des recherches. L'administration n'est même pas venue pour nous faire les badges et autres identifiants ...
Pour nos free times, Karl nous encourage à sortir et nous file quelques idées : Weekend à Londres, Manchester, matches de foot ... Petit tour dans les couloirs, Ronan dans son bureau, et hop ! nous voilà dehors.
Au programme : Burger King et courses (pour changer :p). On rentre et tiens ! Le Ge2.
C'est définitif, le mélange sociale est mort, on est 6 iutines dans l'appart. Heureusement, beaucoup d'étudiants rentrent aujourd'hui, c'est l'occasion de rencontrer nos voisins. C'est ce que nous ferons le soir même en sortant Harris, étudiant en pharma, de ses révisions pour échanger quelques mots autours d'un clope et d'un verre. Quelques épisodes de Dr House plus tard, nous allons enfin nous pieuter. C'était une bonne journée.

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